Chaque année, le nombre de visiteurs aux Etats-Unis connait une nette augmentation. En 2014, le pays de l’Oncle Tom a littéralement explosé le record avec un taux de 74,7 millions de visiteurs. Aussi faut-il noter l’existence de différents types d’autorisation facilitant l’entrée sur le territoire américain dont visa, green card ou encore ESTA. Lisez attentivement les explications ci-dessous pour avoir une clarification sur ces notions.
Programme lancé en 2008, l’ESTA devient obligatoire pour les visiteurs de tout âge aux USA. À préciser cependant que seuls les ressortissants des pays qui bénéficient d’une exemption de visas peuvent profiter de cette autorisation électronique. Proposée à prix abordable, sa demande s’effectue en toute simplicité en ligne. Le délai de traitement des requêtes varie de quelques minutes à 72 heures.
Pour la validité, une autorisation ESTA vous ouvre le droit à plusieurs voyages car valide jusqu’à 2 ans. Il s’avère important de préciser que cette autorisation concerne uniquement les séjours de courte durée. Effectivement, elle sera accordée pour un voyage aux Etats-Unis qui ne dépasse pas les 90 jours. Dans ce cadre, cette e-visa se présente comme l’idéal pour le tourisme et parfois pour un séjour d’affaires.
Un titulaire de cette carte dispose du droit de résider de façon permanente aux USA. Le green card semble intéressant dans la mesure où il permet à son possesseur de jouir de mêmes privilèges qu’un citoyen américain. Il possède donc le droit d’exercer un job aux Etats-Unis, d’étudier et par-dessus tout de circuler librement. Plusieurs solutions s’offrent à un prétendant à une carte verte USA.
Il y a tout d’abord le travail car le pays délivre chaque année au titre de l’emploi plus de 100.000 green card. En entamant la procédure de résidence permanente EB-5, un investisseur peut être sûr aussi d’obtenir cette fameuse carte. Pour les adeptes des jeux de hasard, ceux-ci peuvent tenter leur chance à travers le Diveristy Visa Lottery Program, lancé depuis plus de 20 ans déjà. Enfin, il est possible aussi d’obtenir cette carte par les liens familiaux ou tout simplement par le mariage.
Tout d’abord, il convient de préciser qu’il n’y a pas lieu à parler d’un PVT dans son sens comme pour le Canada aux Etats-Unis. Le green card sera la solution appropriée pour toute personne qui projette de chercher du travail dans ce pays. Il s’avère utile ensuite de clarifier la confusion qui se prête souvent entre visa et ESTA.
Ce dernier n’est en aucun cas un substitut de visa. Cette autorisation électronique a été lancée dans le but de faciliter les démarches pour la préparation d’un séjour de courte durée sur le territoire américain. En revanche, un visa pour les USA varie en fonction de la nature du voyage du concerné. La démarche pour la demande de ce document s’avère longue et fastidieuse. De plus, il coûte relativement cher et implique la nécessité d’un entretien auprès de l’ambassade.
EN quelques minutes faites votre demande d’autorisation de voyage électronique ESTA USA via le formulaire. En cas de question, contactez le service clientèle.
Il n’est pas nécessaire de connaître votre numéro de demande ESTA pour récupérer son autorisation de voyage. EN revanche munissez-vous de votre passeport.
Accédez à votre compte et recevez directement par email votre ESTA Officiel, obligatoire pour voyager aux Etats- Unis. Ce document est valable 2 ans.
Depuis le 12 Janvier 2009, tous les citoyens européens sont dans l’obligation de faire une demande d’Autorisation ESTA pour tous les vols en directiondes USA. Une formalité nécessaire qui remplace l’ancien VISA traditionnel.
Esta-Officiel offre ses services pour l’obtention des formalités administratives en ligne. Le site offre à ses utilisateurs un accompagnement personnalisé facilitant la réception de l’ESTA. Un service clientèle est dédié à répondre aux questions.
Depuis l’élection de Donald Trump au poste de Président des Etats Unis, les procédures de sécurité se sont renforcer et certains pays sont refusé pour un ESTA.
La nouveau formulaire officiel ESTA demande à ses ressortissants d’informer les autorités américaines sur les comptes personnels Facebook et Twitter. Cette formalité n’est pas obligatoire.